La plupart des français choisissent l’assurance vie comme une manière de faire des économies. Ils peuvent sembler opaques si vous vous référez à certains points. Pourtant, ils sont primordiaux dont les investissements en fonds euros.
Les fonds en euro sont considérés comme un support d’épargne sécurisé par rapport à l’assurance vie. Ils sont destinés à ceux qui font des épargnes qui ne souhaitent pas de mauvaises surprises. Le fonctionnement est simple, la valeur de votre contrat ne sera jamais inférieure à la prime que vous avez versé. Par conséquent, vous n’allez subir aucune perte et il faut également savoir que votre argent sera disponible à tout moment. Les fonds euros vont générer des intérêts tous les ans. Ces intérêts seront par la suite capitalisés et générer à leurs tours une sorte de rémunération.
Il faut savoir que depuis quelques années, l’association de consommateurs dénonce la pratique des assureurs à vouloir faire des tours de passe-passe concernant l’indemnisation assurance dans les fonds euros en assurance vie. Cette association estime que des fonds euros perdent aux alentours de 10 % de leurs capitaux en l’espace de huit ans. Désormais, il y a des offres des assureurs qui ne garantissent plus la totalité de la somme que vous avez investi. La garantie ne se limite qu’à 98 % de l’investissement net. De ce fait, les risques de perdre de l’argent à une hauteur de 2 % par an n’est pas à exclure. Il faut savoir qu’il y a deux types de contrat pour les fonds en euro. Il y a l’assurance vie monosupport dans laquelle tout votre capital est investi pour des fonds en euros. Et il y a l’assurance vie multisupport qui vous permet de vous positionner. A titre d’exemple, vous pourrez n’inclure que la moitié de votre capital sur des fonds garantis et une autre moitié dans d’autres produits financiers.
L’ assurance vie jouit de très nombreux avantages grâce à une fiscalité privilégiée. Pour un contrat monosupport, les intérêts que vous gagnez chaque année seront ponctionnés de quelques charges comme le prélèvement social. Cela est le cas dans s’il n’y a aucun achat. Si vous faites un rachat, sachez que vous allez récupérer en même temps le capital et les intérêts qu’il a généré. Il faut savoir que le capital ne sera soumis à aucune taxe. Cette dernière sera déduite d’une fraction des intérêts.
Certaines personnes sont soucieuses de l’avenir de leurs proches et décident de souscrire à une assurance décès. En cas de disparition du souscripteur, les proches peuvent bien évidemment bénéficier d’une somme inscrite dans le contrat. Les clauses d’un contrat d’assurance sont plutôt nombreuses et il faut bien les vérifier afin d’éviter les pièges. Mais, c’est quoi exactement une assurance décès ? Quelle est la différence entre assurance décès temporaire et permanente ? Et quels sont les pièges à éviter ?
L’assurance décès est une assurance qui consiste à protéger les proches du souscripteur en cas de disparition de celui-ci. Elle consiste en fait à se prémunir contre un éventuel risque de décès. L’assureur se doit de verser, en échange d’un paiement d’une prime et en cas de décès, une somme d’argent précisée dans le contrat. Cependant, les cotisations versées ne sont pas restituées si l’assuré est encore vivant lors de la fin du contrat. Avant de signer le contrat d’assurance, il est important de bien vérifier les clauses afin d’éviter certains pièges. Le souscripteur peut choisir le bénéficiaire de la somme en cas de décès brutal. Le choix du bénéficiaire peut souvent être remplacé à tout moment selon la volonté du souscripteur. Il est important de bien comprendre les modalités du renouvellement d’assurance vie pour garantir une couverture continue.
Il existe deux types de contrats d’assurance décès que vous pouvez souscrire en ce moment. Tout d’abord, il y a l’assurance décès temporaire qui permet à l’assureur de payer la somme d’argent à un ou plusieurs bénéficiaires pendant la durée de validité du contrat. Ainsi, en l’absence de décès du souscripteur, l’ensemble des cotisations versées seront perdues à la date de fin fixée dans le contrat.
En revanche, l’assurance décès permanente est un contrat à vie. Celle-ci permet aux bénéficiaires de recevoir un capital inscrit dans le contrat, peu importe la date du décès. Cependant, le contrat s’interrompt lors du décès du souscripteur. Le processus de renouvellement d’assurance vie peut varier selon les contrats.
Contrairement à une assurance vie qui se présente comme un placement financier, l’assurance décès n’est rien de plus qu’une simple cotisation. Il existe donc quelques pièges à éviter avant de souscrire votre contrat. Pour commencer, il faut éviter de souscrire à une assurance décès trop âgé. Ensuite, vous devez éviter de ne pas vérifier les risques couverts par l’assurance décès. Vous ne devez pas combiner assurance vie et assurance décès car cette dernière est une prévoyance qui s’expire à la date limite. Vous pouvez donc perdre de l’argent en cas d’absence de décès.
L’immobilier et l’assurance vie sont deux investissements d’épargne qui présentent des privilèges aussi attractifs l’un que l’autre. La plupart du temps, les souscripteurs ont du mal à choisir entre ceux deux types de supports de placement. Afin de vous aider à bien faire votre choix, découvrez les particularités de l’assurance vie et de l’immobilier.
L’assurance vie est un investissement permettant de former et de faire fructifier des fonds d’épargne. L’épargnant reçoit des intérêts sur son contrat de garantie, selon le capital placé. Effectivement, il reste l’adjudicataire des fonds d’épargne et peut, de ce fait, décider de retirer le capital de départ et les intérêts. Les fonds seront transmis au(x) bénéficiaire(s), à son décès. L’assurance vie est un investissement faisant bénéficier de privilèges fiscaux et présentant des avantages pour la transmission de patrimoine. Ainsi, vous avez la possibilité d’ouvrir un contrat de garantie en vue de vous constituer un capital à long terme ou de préparer votre retraite. Dans l’assurance vie, il existe deux supports de placement : les unités de compte et les fonds en Euros. Ces derniers offrent une assurance de capital. Les unités de compte sont placées dans les actions, l’immobilier et les obligations. Par contre, elles n’offrent pas de garantie de capital.
Réaliser un investissement dans l’immobilier offre principalement deux options : investir dans l’immobilier locatif ou devenir propriétaire de sa résidence principale. En effet, la plupart des Français ont à cœur de faire l’acquisition de leur propre habitation et ce, pour de nombreuses raisons. Plusieurs individus à la recherche de revenus passifs se lancent, par contre, dans le locatif en présentant à la location des biens immobiliers. La pierre est, en conséquence, l’investissement favori des Français. L’envie de se lancer dans l’immobilier se déploie de plus en plus dans une économie rendue délicate par les crises persistantes.
Vis-à-vis des privilèges et particularités de chaque support de placement, l’on peut dire que les deux constituent des produits d’épargne captivants. Le choix d’un investissement au détriment d’un autre dépend de votre âge et de vos objectifs personnels. Le temps à consacrer à l’administration de vos fonds d’épargne est autant nécessaire à la prise de décision.
Si la gestion locative est une activité à laquelle vous ne pouvez pas ou ne voulez pas consacrer du temps, l’immobilier locatif n’est donc pas le bon choix pour vous. Pareillement, si vous n’avez pas une psychologie assez solide pour affronter les changements du système financier, l’assurance vie n’est pas adéquate pour vous. Vos besoins ainsi que votre situation vous donneront la possibilité de réaliser un choix judicieux.